Caron

  • 90, rue du Faubourg Saint Honoré, 75008 Paris
  • 153, Boulevard Saint-Germain, 75007 Paris
  • 23, rue François 1er, 75008 Paris
  • 715, Lexington Avenue, 10022 New York
  • Site internet

Pour un Homme de Caron

  • Un classique parmi les classiques et le best-seller de la maison. Une explosion de lavande et de vanille, d’une richesse aromatique unique pour une subtilité surprenante. Amour de Gainsbourg et de bien des grands de ce monde, Pour Un Homme de Caron est de l’intemporalité dont sont faites les légendes.

L’Anarchiste

  • De l’héspéridé mentolé sur un lit de musc, saupoudré de copeaux de cèdre et de santal, font de l’Anarchiste une fragrance élégante et résolument urbaine. Un véritable parfum contemporain, facile à porter, sophistiqué et étrangement unique ; de ces parfums tout en contraste dont on n’est jamais tout à fait sûr de la composition exacte…

Yatagan

  • Du cuir, sans compromis et sans pitié, une touche d’armoise, une larme de petitgrain, sur un coeur de vetiver, de patchouli et d’aiguilles de pin : une relique des steppes à la masculinité exacerbée, sale et verdoyante à la fois. Un parfum de niche, sans aucun doute, mais d’une niche à la longévité qui ne dément pas.

Le Troisième Homme de Caron

  • La troisième fragrance masculine de Caron, ainsi nommée en référence au film d’Orson Welles du même nom, donne dans le bouquet exotique et fruité – un parfum floral, au douces effluves de bergamote, d’estragon, de girofle, saupoudré d’un rien de vétiver et d’une pointe de géranium. Un beau masculin, unique et androgyne à l’extrême, pour les hommes qui cherchent à fuir le stéréotypé.

Yuzu

  • Dernier né dans la famille des masculins de Caron : un bel héspéridé qui donne au yuzu, petit agrume japonais, le centre de la scène, soutenu par une touche de basilic et un coeur qui doit de son originalité à la présence d’une ombre de figue. Un parfum propre et comfortable qui, sans récrire les codes du parfum héspéridé, constitue un choix sûr pour les amateurs et les nouveaux-venus dans l’univers sans compromis de Caron.

Royal Bain

  • Une eau de toilette unisexe tonique et décadente : une ouverture aux accents très doux et opulents à base de lilas et de violette sur un lit de benjoin, de vanille et de musc. D’une élégante simplicité et d’une sophistication certaine. Petite anecdote amusante : Royal Bain est considéré comme un cadeau porte-bonheur en Amérique du Sud et dans certaines parties de l’Afrique, où il serait même utilisé lors de rituels religieux…

Les Eaux de Caron

  • La première moitié du diptyque des Eaux de Caron, l’Eau pure se porte comme un voile confortable teinté de citron et légèrement épicé à la coriandre et à la muscade râpée. Idéale pour l’été et à porter avec une chemise blanche fraîchement lavée et repassée.
    L’Eau Cologne, quant à elle, part sur des notes de mandarine et de bergamote pour s’ouvrir sur un coeur riche en romarin, petit grain et néroli. Une eau qui se porte près de la peau, pour de délicates vapeurs d’une belle fraîcheur, à l’arôme plaisant et aérien. Pour les occasions qui demandent de la discrétion, mais en toute sophistication.

En Avion

  • Un de ces parfums féminins portés par les plus dandys d’entre nous : une ouverture d’une extrême puissance, florale, résineuse, teintée d’un brin d’amertume, qui s’évapore doucement. La progression est d’une complexité rare, mais aucune note ne vole la vedette à une autre. C’est un bal, parfaitement chorégraphié, certes désuet, mais d’une grande beauté formelle. Pour les audacieux.

Tabac Blond

  • Si Pour Un Homme de Caron est une légende, Tabac Blond est un mythe. Un véritable androgyne aux traits délicats, à l’ouverture masculine et au coeur féminin : du floral succède au cuir, dans un dialogue d’une richesse ahurissante (de plus de 85 composants !), qui change de registre et de tonalité à chaque fois que l’on se sent le poignet. L’ambivalence incarnée.

Poivre

  • Le compagnon idéal de tabac blond : une bouffée de poivre chaleureuse et épicée par nature, arrondie par un coeur floral. Poivre n’est pas forcément un parfum flatteur en lui-même, mais porté avec Tabac Blond, les deux parfums forment un monstre sacré. Une union complexe et idéale, qu’il convient d’assumer pleinement, sous peine de se retrouver écrasé sous la puissance aromatique de deux des parfums les plus légendaires de l’institution parisienne.